Prix Nobel

Plus de 100 ans d’histoire et 2 prix Nobel

C’est Stamen Grigorov, jeune chercheur bulgare qui découvre en 1905 la présence de ces 2 bactéries, sa découverte est validée par Elie Metchnikoff, vice-directeur de l’institut Pasteur, prix Nobel de médecine 1908, qui la présente au monde scientifique cette même année.

Le grand public en prendra lui connaissance le 21 janvier 1912 dans un article du New York Times.

 Elie Metchnikoff, Prix Nobel de Médecine 1908 pour ses travaux sur l’immunité.

Docteur Barry J Marshall récompensé par le prix Nobel de Médecine 2005 pour ses travaux sur Helicobacter Pylori, la bactérie responsable d’une grande majorité des ulcères de l’estomac.

 Le Docteur Barry J. Marshall avec le CEO de Proviotic : Kiril Petkov

« La responsabilité de Helicobacter pylori est à présent bien établie dans la genèse et l'entretien d'ulcères. Au niveau de l'estomac, Helicobacter pylori est responsable de 7 ulcères sur 10. Le duodénum est la partie de l'intestin qui suit immédiatement l'estomac, 9 ulcères duodénaux sur 10 sont liés à Helicobacter pylori. »

http://www.helicobacter.fr/index.php/informations-sur-helicobacter-pylori/quelles-sont-les-maladies-associees-a-h-pylori

Résultats des 2 tests cliniques menés sur des infections à Helicobacter pylori.

Levures, bactéries indésirables, et bactéries probiotiques

Candida albicans : Microorganisme vivant à l'état naturel dans les muqueuses de l'être humain. On le retrouve dans 80 % de la population. C'est une levure. Elle peut provoquer des infections fongiques (candidiase ou candidose) essentiellement au niveau des muqueuses digestive et gynécologique. L’une des candidoses les plus connues touchant la cavité buccale est le muguet qui affecte fréquemment les patients traités par antibiotiques à large spectre. Les candidoses génitales ou vulvo-vaginites sont également fréquentes et dues dans 80% des cas à l’espèce Candida albicans.

Escherichia coli (E.coli) : Egalement appelée colibacille, est une bactérie intestinale très commune chez l'être humain. Certaines souches peuvent être pathogènes, entraînant alors des gastro-entérites et des infections urinaires (65% à 90% des cystites sont dues à E.coli)

Des effets antibactériens, une compatibilité avec les autres bactéries probiotiques et aucune résistance aux antibiotiques

Des tests ont été faits qui confirment que la bonne bactérie de PROVIOTIC®Candida cible les mauvaises bactéries mais vit en harmonie avec les autres bactéries probiotiques qu’elle peut rencontrer et avec lesquelles elle cohabitera.

Effets inhibiteurs du GLP3 sur un certain nombre de levures néfastes pour l'organisme.

Effet inhibiteur du Lactobacillus plantarum GLP3 sur une souche clinique de Candida albicans (A) après 48h de présence (B)

Effet inhibiteur du Lactobacillus plantarum GLP3 sur une souche de la bactérie E.coli après 24h, puis disparition à 7 jours. 

Le GLP3 n’a eu par contre aucun effet inhibiteur sur les principales espèces de ferments lactiques probiotiques :

Lactobacillus bulgaricus

Lactobacillus paracasei

Lactobacillus plantarum

Lactobacillus rhamnosus

Et n’a aucune résistance face aux antibiotiques, comme le montre le tableau ci-dessous (Tests menés en septembre 2018).

En effet des probiotiques efficaces craignent les fortes chaleurs et les antibiotiques, c'est pourquoi il est recommandé d'espacer la prise de probiotiques et celle d'antibiotiques de 2h.